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Recherche par lecteur : Nadine Beucher

23 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:5h. 28min.
Genre littéraire:Roman terroir
Numéro du livre:38149
Résumé: Alia est une Parisienne des beaux quartiers, la cinquantaine, deux grands adolescents déjà embarqués dans la vie, un ex-mari pas trop dérangeant, un cercle d'amies qu'elle retrouve pour un dîner chaque premier lundi du mois, un boulot enthousiasmant, un tempérament optimiste. Que du bonheur. Son souci, c'est Campniac, la grosse maison périgourdine familiale où personne ne va jamais et qui se dégrade. Pas d'autre solution que de la vendre. Quand des examens médicaux décèlent chez Alia une grave maladie d'origine génétique, elle éprouve dès lors le besoin de se ressourcer au Périgord. Plus elle y passe de temps, plus elle s'attache à la maison et à la région. Elle se laisse rattraper par ses souvenirs, nombreux, qui rejaillissent. Et Alia comprend bientôt que derrière les murs de la bâtisse, sa famille ne dessine pas les contours qu'elle imaginait...
Durée:5h. 40min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:37083
Résumé: Maggie rêve secrètement de devenir maman. Seulement, jusqu'à maintenant, aucun homme n'a su lui donner le désir de s'engager. Pourtant, elle est sûre d'être prête à aimer de toutes ses forces un enfant ! Aussi, le soir où elle découvre un bébé abandonné au détour d'un parking, elle ose croire à un cadeau du destin : cet adorable petit ange, blotti dans son couffin rose et qui semble lui tendre les bras, elle va tout faire pour l'adopter !
Durée:2h. 42min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35234
Résumé: C’était dans les années juste après l’explosion de Mai 68, celles de la jouissance et de l’évaluation des dégâts. Celles d’après le crash planétaire des Beatles. Celles des anciens combattants abattus, titubants, des filles qui reprenaient leurs esprits. Celles de Bowie. De la culture pop critique, du structuralisme, de la mise en abyme. Tout paraissait possible, les portes étaient ouvertes, et l’aventure au coin de la rue. Certains allaient s’éteindre, le souffle coupé. D’autres allaient traverser le feu. C’étaient les années 70 et, pour moi, cela se passait place des Vosges. [Seuil]